mercredi, avril 18, 2007

Deuxième jour à Hanoi

Si je devais donner un titre à ce chapitre je dirai Restaurant. J’ai passé presque toute la journée dans des restaurants. D’abord à midi avec la famille de Dung et dans l’après midi avec les anciens amis de l’ENSMA de retour à Poitiers.

Avec la famille de Dung au restaurant
C’était un magnifique restaurant situé entre deux lacs et comblent de Vietnamiens qui s’y rendent tous en familles nombreuses. Nous étions 7 sans la femme et son bébé qui ne pouvait sortir. La spécialité de la maison est la crevette péché, dans le passé, d’après Dung dans l’un des deux lacs. J’étais content car j’allais pouvoir découvrir la nourriture Vietnamienne. Je mangea avec beaucoup d’appétit tout ce qu’on me proposa. Je mangea même des escargot pour la première. C’était pas mal, je l’avoue. On aurait dit des huitres. Des puristes des fruits de mer me critiqueront peut être en tout cas c’est ce que je ressentis. Il y avait une succession de petits repas, je me suis rassasié avant même le repas principal tellement tout était bon. Le repas principal était un gros poisson qui était encore en vie au moment ou nous rentions dans le restaurant. Il était bien frit à l’huile et devait se manger comme des nems. Je trouva très original cette façon de manger. Il y avait des feuilles (je ne saurai dire de quoi) sur lesquelles on y déposait des ingrédients (rien, légumes, poisson) sur la largeur et qu’ensuite on enroulait comme des nems. On m’en fit un et je me débrouilla ensuite en grand garçon.

J’ai beaucoup apprécié ce moment de convivialité en famille. Ma famille me manqua aussitôt. Snif ! moi aussi je serai auprès des miens juste après ma soutenance.

Après le restaurant, on rentra directement. Avec Dung, nous nous fixé RDV pour faire des achats et re-visiter Hanoi pour prendre des photos cette fois.

Visite de Hanoi
J’avais déjà visité tous les endroits et j’avais que des photos à prendre. Mais avant, je voulais m’acheter des chaussures d’été et des converses. J’étais un peu déçu pour les converses car il coutait aussi cher qu’en France : 60 euros. J’ai du me contenter que des chaussures d’été. Le shopping ne dura pas longtemps. Direction la tombe de Ho Ci Minh. J’ai pas pu le visite car il est fermé l’après midi. J’ai juste pris les photos de l’exterieur. Le temps passa si vite qu’il fallait déjà se rendre au restaurant où les anciens amis de l’ENSMA nous y attendait.

Au restaurant les anciens ensmatiques
A venir ...

Premier jour au Vietnam

Notre avion arriva avec 30 minutes de retour. J’était parmi les premiers à sortir de l’avion. Sans encore le savoir, j’allais le dernier à quitter l’aéroport. En quittant Paris, j’avais l’agrément de mon visa que je devais récupérer sur place. Dès que je suis arrivé, un policier récupéra mon passeport et je ne l’ai plus jamais vu. Ceux qui était dans la même situation que moi (i.e., qui devait retirer leur visa sur place), venait et repartait avec leur visa. Et enfin, un autre policier arriva avec moi passeport. Je couru vite prendre mes bagages. J’avais peur que Dung qui devait me récupérer ne soit impatient et rentre chez lui sans moi. Heureusement Dung était toujours.

Oui, « Mon Dung», comme Ladjel le dit si bien était là en chaine et en or (plutôt en chair et en os). Il n’avait pas du tout changé. Faut dire aussi que c’est pas en seulement trois mois qu’il aurait un grand changement.

Dès que nous sommes sortis, il tendit la maison qu’une mercedes blanche se gara devant nous. J’etais épaté de monter dans une mercedes en taxi. Dung me rectifia aussitôt en me disant que c’est la voiture de son père et le monsieur au volant est son chauffeur. Oups ! je venais de dire une bétise. Je ne m’en souviens pas être monté dans une mercedes, en tout cas, celle là était d’une grande classe. Elle avait appartenu à un ancien ambassadeur allemand et toujours d’après Dung, elle est hors série. Jusqu'à ce que je quitte Hanoi, je n’allais pas être surpris par la famille de Dung. Je le mentionnerai au fur à mesure.

On alla aussitôt à mon hôtel non loin où la famille de Dung habite. Ma chambre avec deux petits lits et un standing normal. Ce n’était plus la chambre 3* à Bangkok. Le temps de prendre une douche et hop, on monta à pied jusqu'à chez moi pour manger.


Présentation de la famille de Dung
Je viens donc pour la première fois, la maman de Dung, sa grande mère et son bébé. J’étais content de revoir la femme de Dung aussi.
Dung ne ressemblait pas beaucoup à sa mère. Même si je n’avais pas encore vu son père de Dung, je déduis très vite qu’il lui ressemblait. J’avais deviné juste. J’ai pas vu beaucoup la mère parler pendant tout le temps que j’ai passé parmi eux. Elle est à la retraire depuis quelques temps. La grande mère de Dung, est une femme bientôt centenaire et d’un dynamisme impression. Je pouvais m’adresser à elle en français car elle a étudié la langue 70 plutôt à l’école. Bien qu’elle n’est pas pratiquée depuis longtemps, elle s’exprimait normalement et de surcroit sans accent.

La femme de Dung avait un peu changer (c’est le moins que je puisse dire). J’étais un peu surpris à la voir car elle était très grosse. En tout cas, c’était plus la fille hyper fine que j’ai connu à Poitiers. C’est normal me diriez vous car elle est maintenant maman. J’ai su caché ma surprise de peur de la choquer. J’espère seulement que j’ai réussi. Elle était dans sa chambre avec son Bébé : une jolie petite fille. Le bébé ressemblais à 50% à la maman et 50 % au Papa. La ligne de démarcation était le nez. Du nez vers le bas à la maman (jou, bouche) et du haut vers le haut au Papa (yeux, front). Si son visage devait refléter l’extérieure, ca voudrait dire que leur fille parlerai exactement comme sa mère (je ne vous dirai pas si elle parle beaucoup ou peu) et elle aurait l’intelligence de son père (rires…).

Je mangea mon premier repas vietnamien. Que j’avoue qui n’était pas mal (rires …). No comment….

Je rentra chez moi pour faire une petite sieste pour digérer tout ce que j’ai mangé. Ensuite Dung passa me prendre avec sa moto pour faire un tour en ville mais avant on devait passer dans l’entreprise de son père, là où il bosse.

La circulation des motos et voitures à Hanoi
On roula pendant a peu près 15 minutes de motos avant d’arriver dans l’entreprise. Circuler à Hanoi n’est pas facile. Je l’avais déjà remarqué plutôt le matin lorsqu’on était dans la voiture. La premiere chose qui frappe, c’est que tout le monde clacsonne de partout et sans raison valable. Sur la route, les voitures ont la priorité sur les motos et les motos sur les pietons. C’est la loi du plus fort pour resumer. Tu laisses passer la voiture si tu ne veux pas voir ta moto cassée. Et toi pieton, si tu veux pas aller à l’hopital, regarde bien avant de passer. Sur la route, il ne faut pas dormir au volant. A tout moment un personne, une moto peut se retrouver devant toi et tu devrais lui ceder le passage. On peut prendre une voie à sens inverse. Tout est permis. Il y a des feux, mais la liberté est laissée à chacun de le respecter au risque de sa vie (rires…). Bref, c’est la jumgle des motos et des voitures.

Dans l’entreprise du Papa de Dung
L’entreprise sur trouve dans un maison d’habitation de quatre étages dont les chambres ont été transformée en bureau. C’est pareil pour toutes les entreprises autour. Le quartier était destiné a être un quartier residentiel mais a fini comme quartier d’affaire très calme car il n’y a presque que pas de motos qui y circulent. Dès qu’on arrive, on est frappé pour le nom de l’entreprise : SIC. Je ne connais pas le cigle mais ça m’a fait penser au laboratoire de Signal, Image et Communication situé sur le même site que mon laboratoire LISI. A l’interieur, on est acceuilli par deux jolies vietnamiennes qui n’ont pas arretes de me regarder. J’ai essayé de converser mais la barriere de la langue nous faisait défaut. D’apres Dung, son père bosse dans plusieurs domaines : la construction, les mines de fer, investissements, bref, tout ce porte sur ce nouveau marché asiatique.

Le bureau de Dung est au dernier étage et y sont logés un petit monde sous ses ordres ou presque. Et oui, Dung est un chef d’entreprise. Il essais de monter une petite structure informatique au sein même de l’entreprise de son père avec un de ces collègues. Je pense son choix de créer sa structure sous couvert de son père, était justement de profiter déjà du réseau de celui-ci en attendant les siens mêmes avec le temps. En tout cas, c’est bien réfléchi. Il y a 4 personnes dans une grande pièce. Le bureau de Dung est juste au milieu en grand chef. Il y avait deux stagiaires, son collègues et un cousin à lui qui concevait un site web. Le père de Dung n’était pas encore là quand je fis ma visite. Pendant que Dung réglait ses affaires, je me connecta à internet pour consulter mon mail. Au moment de partir, le père de Dung était arrivé et nous accueilli dans son immense et beau bureau. Au dessus de la porte est écrit Director Général. J’avais pas menti en disant que Dung ressemblerai à son père. C’est une copie conforme de l’original. Il parlait un peu anglais et donc on a pu un peu converser. En discutant avec lui, je compris aussitôt pourquoi Dung voulait rentrer le plus tôt. C’est une grande entreprise familiale et je suppose qu’il sera amené à prendre la relève un jour.

On le laissa a ses occupations et nous partîmes visiter Hanoi

Visite de Hanoi en moto
Hanoi est une grande ville en pleine construction. Je ne comparerai pas son architecture à celle de Bangkok qui légèrement plus moderne et beau. Les grattes ciels ne sont pas très nouveau. Mais comparer à mon pays le Tchad, 10 fois plus chics. Dung me fit voir le centre politique, si je peux l’appeler comme cela, composé des ambassades, du palais de gouvernement, de l’assemblée nationale, du siège du parti unique. La tombe bien garde de Ho Chi Minh, le quartier de touriste et quelques monuments érigés en mémoire de quelques grands hommes.

Il y a beaucoup de lacs naturels ou non à Hanoi sur lequel il y a des petits bateaux pour aller faire des balades en amoureux (J’en ai compté au moins 4).

C’était une visite introductif de Hanoi. Je n’ai pris aucune photo. Ce sera pour le lendemain. La nuit tombait et il fallait rentrer. Je manga ce soir là dans la famille de Dung où je fis la connaissance de la sœur de Dung, de son beau-frere qui habite à deux pas, et de son neveu.

mardi, avril 17, 2007

Je quitte Bangkok pour Hanoi

Je me suis bien organisé la veille à bien faire mes valises de sorte à me lever le matin uniquement pour prendre ma douche et partir aussitôt à l’aéroport. Mon vol était prévu pour 8h15 et je devais être à l’aéroport à 6h. Vu la distance, je devais quitter l’hôtel à 5h30 au plus tard. J’avais la veille négocié avec le taximan qui m’avait conduit de me prendre tôt le matin. J’étais donc début à 4h30. A 5h15 j’étais déjà au Hall. J’ai même eu le temps de prendre un petit déjeuner. A 5h25, il n’était toujours pas arrivé. 5h30… 5h35… toujours pas. Il y avait un Monsieur très louche je l’avoue qui n’arrêtais de me proposer de m’y déposer. Comme j’attendais mon taxi alors le l’ignorait. Il y a un taximeter garé devant l’hôtel, dans mon esprit s’était le sien. A 5h40, je lui donc de me déposer pour le même prix. Encore une surprise, il me conduit vers une vielle voiture garée sur les cotés. Je refusa d’y mettre mes bagages mais il insista. Au moment de démarrer, il réussit à la quatrième tentative. Au premier virage, le moteur faillit se couper. Et là, je n’étais pas tranquille. J’insista pour descendre. J’ai du crier très fort avant qu’il s’arrête. Apres avoir récupéré mes bagages, j’appela un autre taxi, normal cette fois. J’ai pour une fois réagit très vite éviter un désastre. Sa voiture aurait pu tomber en panne en plein milieu de route. Un truc bizarre.

A l’aéroport, après mon enregistrement, je changea mes billets en dollars. J’étais l’un des premiers dans l’avion et très content de quitter Bangkok après tout ce qui j’ai vécu. Maintenant, il me fallait penser au Vietnam et aux choses agréables et passionnantes que j’allais y vivre.

Sixième jour à Bangkok

Réveil un peu difficile. C’est bien qu’à même les vacances. C’est fait pour se reposer n’est ce pas ? Dommage, je dois me rendre à l’agence pour acheter mon billet.

Achat de mon billet
Je décide de faire simple et économiquement. Je prend juste devant mon hôtel un taxi meter direction l’agence de Thailande Airways. Il y a une chose bizarre que j’ai remarqué depuis que j’ai entrepris de rediger continuellement mon voyage en Thailande : il y a une succession d’evennement incontrolable qui n’arretais de m’arriver et toujours l’issue est troujours heureuse. On dirait ces films americains avec du suspens sans arret une action et après une autre qui rend captif le spectateur. C’est pareil pour mon histoire. Je vous laisse imaginer ce qui va m’arriver.

Dès que nous sommes arrivés, a notre grande surprise, l’agence était fermée pour cause de fête ! et Oui, aujourd’hui est le nouvel an Thailandais. C’est une fête de famille et férié. Zut !! personne ne l’a dit ! Honnetement je le savais ! mais j’ignorais que l’agence serait fermé surtout en plus il m’avait eux-meme laissé leur adresse afin que je puisse passer recuperer mon billet avant midi sinon ma réservation serait annulée. J’étais impuissant et ne sachant donc pas quoi faire. Le chauffeur, qui est une personne de très sympathique, me propose d’aller dans une agence de touriste à deux pas de la ! On s’y rend donc. On m’informe que l’agence n’ouvrira pas et que le seul endroit pour retirer mon billet était de me rendre à l’aeroprt qui n’est pas au passage à la porte d’à coté ! Souvenez vous que j’ai du payer 20 dollars à pour aller à mon hotel le jour de mon arrivée. Calcul fait cela me reviendrait à 40 dollars. Au moment de partir, on m’informe de l’agence peut emettre des billets mais il me faudrait une nouvelle reservation mais le billet me coutera 2000 bats en plus (soit 40 euros). C’est plus chère que d’aller à l’aeroport, mais je gagnerai en temps. Et qui sait si je trouverai l’agence d’ouvert ?

Malheureusement pour moi une fois de plus, les vols sont pleins au retour de Hanoi. Que suis-je bête, la reservation que j’avais obtenu a été possible par un circuit particulier et donc c’est normal qu’il n’est plus de place. Je n’avais plus trop le choix. Il fallait que je me rende à l’aeroport. La decision n’était pas encore prise en sortant de l’hotel. Il était seulement 9h15. Je decide de rentrer pour reflechir un bon coup. Dans le taxi, je propose à tout hasard de lui filer 400 bats (soit 8 euros) pour un aller-retour à l’aeroport ! A ma grande surprise, il accepte ! Zut !que je me suis fait arnaquer à mon arrivée 20 dollars (15 euros) !!!!. L’heure n’est pas de regretter quoique se soit, on change de direction pour l’aeroport. Et labas tout alla très vite. En 10 minutes, j’avais mon billet. Au moment de regler, je decide de tester ma carte bancaire. Surprise, elle se remis à marcher. Je me suis tracasser la tête la veille pour rien ! J’étais trop heureux pour repenser à tous cela. J’avais pas encore visiter Bangkok depuis mes 5 jours sur place. Si je vous demande qu’elle est endroit mythique qu’il faut avoir visité en Thaïlande ? Le Grand Palace bien sur. La charmante Thailandaise, m’avait expliqué un circuit fort intéressant et pas cher en plus pour visiter Bangkok. Celui part du Grand Palace, puis par un léger detour pour un fleuve ou il y a beaucoup de petit temple autour. Mais il fallait m’y rendre au Grand Palace. Je propose au chauffeur 300 bats et il accepte apres plusieurs tentatives que je lui augmente un peu. En affaire, je suis un dur !! rires…

Me voila au Grand Palace.

Visite du grand Palace
Qui n’a pas été émerveillé par cet endroit est un menteur !! Je ne sais pas si j’arriverai à transcrire la beauté de ce lieu. Même les photos ne peuvent être fidèles à ce que notre vue peut nous offrir. Il y a des progrès à faire encore dans la technologie pour être précis ! (Rassurez vous, je ne suis pas payé pour faire de la publicité !! rires…). Je réussi à me trouver un guide spécialement pour moi pour 100 bats (2 euros !! Pour ce prix il faut être bête pour ne pas le prendre !). Il a avait un anglais pas terrible pas mais j’arrive à le comprendre qu’à même. J’ai retenu que le temps a été construit au départ par un certain roi puis avec des donations des fidèles, le temples fut agrandi et d’orer de partout. C’est impression que tout brille dans cet endroit. Le soleil était au zénith quand je fis ma visite. Mon émerveillement fut encore totale quand je visita un lieu à l’intérieur où il fallait pied nu. Les photos étaient interdits. Dans la salle, où il y avait de Thaïlandais qui rentraient prier un Bouda (ou simplement un dieu), était décorer de partout de nombreux graphismes. Je vous laisse découvrir le reste par les photos.

En moins d’une heure j’avais fini. Je décide de rentrer en passant par le fleuve ou je pourrai voir de nombreux temples. J’en avais déjà vue beaucoup. Honnêtement, c’est pas pour les temples que je faisais ce circuit. C’était simplement pour monter sur un bateau (rires …). La station des bateaux est à 5 minutes à pied. Mon guide accepte de m’y conduire.


Sur le fleuve
J’attendis le bateau 10 minutes. Je retiens de ce périple simplement le fait que je me suis fait offert un collier de fleurs par deux filles pour me souhaiter bonne année et les belles constructions (buildings) sur les rives du fleuves. Je me suis mis à imaginer comment ce endroit pouvait être beau dans la nuit. Le trajet à durer plus de 20 minutes. Arrivé, j’ai pris mon métro jusqu’à mon hotel.

Divers du reste de ma journée
Je me repose et je décide de me rendre au seconde fois au Planty Plaza pour m’acheter de petit gadget qui sont à des prix faramineux à la FNAC. Notamment un chargeur pour mon soit disant ipod, un casque plus beau, etc.

Je rentre juste à l’heure pour essayer les habits commandées au tailleur. Il les a bien coupé. J’etais vraiment pas déçu par ma décision. Le soir, je pars au restaurant pour un dernier repas à Bangkok avant de rentrer pour faire mes valises.

Cinquième jour à Bangkok

Réveil très difficile. Je sécha toute la session de ce matin là. Je devais me rendre au Plany Plaza pour récupérer mon poster. A 9h30 je me leva du lit. Je ne voulais y aller à la 1ere session parce que je savais ce qui m’attendais (rires …). Au moment de partir, je décide de prendre un moyen de déplacement plus original. Il parait d’après les thaïlandais qu’il y a de l’excitation forte à prendre les motos. Je vous avoue que vraiment j’ai été excité.

Le chauffeur du Taxi-moto, me propose gentiment de lui rendre un petit service en rentrant dans la boutique d’un couturier et d’y rester 5 minutes. Je pense qu’il doit gagner à envoyer des touristes dans ce type de shopping.

Au salon de couture
En rentrant dans le salon, vraiment, j’avais pas l’intention de claquer un seul sou. Mais à l’intérieur, j’ai été bluffé par les prix et la qualités de la couture. Et donc, je décide de passer une commande d’une veste sur mesure, trois chemises et trois pantalons. Je devrais être livré le lendemain à 18h. Le soir même, on devrait passer me faire ajuster ma veste.

Le chauffeur du taxi-moto qui m’attendit pendant plus de 30 minutes, me récupère et m’amène au Planty qui n’était plus qu’a deux pattés de maisons. Je récupère mon poster.

Un bain de pluie
Dès ma sortie du Planty, il se mit à pleuvoir. J’ai pas été assez sage pour attendre que la pluie s’arrête avant de prendre la route. Je monte dans le même taxi-moto qui m’attendais une fois de plus. Et comme, le taxi-moto n’était pas, j’encaissais les gouttes d’eau sur les cotés et derrière moi. J’étais tout mouillé. Mes chaussures totalement trempées. Heureusement que mon poster est bien enveloppé dans un plastique.

Et comme un malheur n’arrive pas seul, en plein milieu d’une 2 fois 3 voies, la moto s’arrête et refuse de redémarrer. C’est la panique à bord. Il me propose de descendre sous la pluie le pousse sur les cotés. Ce que refuse heureusement. C’est une autre personne qui vient nous aider à se garder sur les cotés. Il essaie en vain de réparer sa moto mais n’y parvient pas. Il me suggère de prendre un autre taxi. Et cette fois, je choisi un taxi ‘normal’. C’est deuxième Gaou qui est ngatta.

Au retour à la conférence, j’étais presque sec. Ma présentation a lieu dans 3 heures, j’ai tout mon temps pour sécher.

Oups§, j’ai oublié que je dois confirmer mon billet d’avion.

Confirmation de mon billet d’avion
Pour cela, j’ai eu la bonne idée de demander l’aide de la belle Thaïlandaise. Et oui toujours elle ! L’occasion se présentera certainement pour obtenir un ‘date’ comme dise les anglais. En plus de sa beauté et de son charme, elle était très serviable. Pendant plus d’une heure de communication avec son mobile, discuta avec les opérateurs pour me confirmer mon vol. Au fait, il y avait une petite complication. Compte tenu du fait que mon vol était très proche, je ne pouvais pas avoir un billet électronique. Et donc, je pouvais pas payer par carte bleu. Il fallait donc que je me déplace en personne. Chose que je pouvais puisque j’avais ma démo. Nous avons essayé toutes les solutions et sans succès. Finalement l’heure de ma démo arriva et je la laissa toujours au téléphone. A 18h, elle me fit un bilan : on m’offrait un sursit jusqu'au lendemain à midi pour confirmer mon vol. On me fila l’adresse de l’agence. Je trouverai plutard à mon hôtel justement un message de la compagnie, m’indiquant ce que je dois faire. Les agences ouvrent normalement à 8h30. Je n’avais encore rien prévu pour le lendemain. Pour une ouverture à cette heure-ci, ca ne me posera pas de soucis. Tiens je viens de me rendre compte que j’ai pas du tout parler de ma démo.

Ma démonstration
Ma démo commença quand j’étais sorti récupérer de l’argent pour le filer à un coursier pour qu’il aille me récupérer mon billet. J’ai eu des soucis avec ma carte bleu. Je m’en suis pas trop préoccupé car je me suis dit que c’est certainement le distributeur qui ne reconnait pas ma carte. Quand je revins au mon stand (si je peux dire ça comme cela). J’avais un bout de table et mon poster collé juste en face de moi. Mr Pierra était déjà avec deux clients à qui il expliquait comment les ontologies sont construites dans notre domaine. Ces clients n’étaient pas trop intéressés pour ma démo. Ensuite vient deux thaïlandais bossant chez IBM. Ils voulaient comprendre notre architecture. Pas besoin encore d’une démonstration car mon poster suffisait largement. Ensuite il eut un chinois qui resta longtemps figer devant mon poster. Je le trouvai un peu bizarre !! Je lui demanda s’il voulait savoir quelques choses de particuliers et me fit savoir que non. Et là, vient deux japonais, une femme et son étudiant, qui voulait connaitre notre problématique, la solution et la démo. Je me suis vraiment fait plaisir avec eux. Je leur ai expliqué ce qu’il voulait, puis je leur ai fait une petite démonstration. A la fin, elle me posa une colle qu’à même sur l’héritage des propriétés que nous ne prenons pas en compte. Je lui ai donné une réponse qui ne m’a pas moi-même satisfait. Il va falloir que je trouve une vraie réponse avant ma soutenance. Le chinois se réveilla enfin. Il avait écouté toute ma conversation avec les deux japonais. Il me posa la même question sur l’héritage des propriétés et ensuite posa une question pour savoir ce qu’elle était l’avenir de la recherche dans le domaine des bases de données à base ontologique. C’est là que je compris ces intentions réelles. Au fait, c’était un chausseur de thème de recherche. J’en avais entendu parlé mais jamais vu en live. Je regrette aujourd’hui de lui avoir répondu. Il a été mon dernier client dans l’horaire officiel. J’ai plutard expliqué, comme pour les japonais, aux thésards du laboratoire qui organise la conf. toute mon architecture mais sans la démonstration.

La conférence était donc terminée.

Pour revenir à ma thaïlandaise, j’ai pu lui proposer de visite Bangkok avec moi le lendemain et c’est la qu’elle m’informa que ce serait la fête du nouvelle an et que c’est un événement qui se passe en famille. On ne me reprochera pas de n’avoir pas essayé.

Il est 18h30. J’ai déjà dit aurevoir à Mr Pierra. C’est désormais quartier. Je décide de faire mes courses ou je dépensa tout ce que j’avais comme sou dans l’espoir d’en récupérer au distributeur.

Difficulté avec ma carte bancaire
J’avais lors de ma première visite de Bangkok repérer de tas de petites choses que j’envisagais d’acheter lorsque j’aurai du temps et bien refléchi de leur utilité. C’est ce que je fis. Je les acheta presque toutes la sommes d’argent que j’avais sur moi. L’heure d’aller manger vint et je décida de retirer une certaine somme avant de me rendre au restaurant. Et c’est là que commença ma panique. Ma carte bancaire ne fonctionnait pas. Le matin pourtant j’ai pu retirer une certaine somme pour payer une avance au tailleur. J’essaya dans 3 distributeurs de banques différentes. Il fallait à tout prix régler cette affaire le soir même car le lendemain il me faut aller payer mo billet. Si ma carte ne marche, il y a des chances que je sois bloqué à Bangkok jusqu’à retour pour paris le 17 avril. Alors me vint l’idée d’appeler ma banque. J’ai leur numéro sur mon chéquier. J’appelle et j’explique mon problème. Mon interlocuteur essaie de déceler mon problème mais n’arrive pas. Normalement, lorsqu’il y a des rejets de cartes comme mon cas, les erreurs en cause sont enregistrées. Ce qui n’était pas dans mon cas. Dans tous les cas, j’avais droit à un découvert de 3000 euros et le problème ne pouvait pas être du au manque d’argent sur mon compte. D’ailleurs, deux jours avant, j’ai reçu un SMS de ma banque m’indiquant que j’avais un avoir de 350 euros. L’opérateur ne sachant pas quoi m’émis une idée super-géniale de me faire envoyer de l’argent par Western Union.

J’entrepris donc d’appeler tous mes potes à Poitiers. Il était environ 16h en France et le transfert d’argent qui se fait qu’à LaPoste devait être effectuer en heures d’ouverture soit avant 18h. Si le transfert devait se faire le lendemain ne m’arrangait pas du au décalage horaire (+5 heures de décalage).

Bizarrement, personne était joignable ce jour là. Et ceux que j’arrivais à contacter ne pouvait pas le faire. Amélie, ma potesse de St Etienne, réussit à aller à une poste, mais le transfert ne reussit pas. Flora, la femme de Freddy, voulu me faire le transfert, au moment de partir, elle se rend compte que la carte bancaire est avec son homme. Finalement, j’avais pas de bol ce jour là. J’ai du donc recourir à l’ultime décision d’aller à l’hôtel de Mr Pierra pour lui demander de me prêter une certaine. Je ne voulais pas le lui demander parce que je voulais pas qu’une mésaventure pareille se sache au laboratoire afin de ne pas subir une fois plus des moqueries des uns et des autres. Mr Pierra logeait avec sa femme à l’Hotel ou se tenait la conférence. A la réception, je m’informe sur le numéro de sa chambre et malheureusement, il n’était pas là. Je décide de lui laisser un mot quand je le vois venir avec sa femme. Je l’expose mon problème et décide donc de m’aider. Ouf ! que fut mon soulagement interne. Il me retira donc une somme de 300 euros. C’était une somme suffisante pour mon billet, mais il me fallait plus si je devais payer les 60% restants au tailleur et avoir de l’argent sur moi pour visiter Hanoi. Je devais payer le tailleur tard dans la nuit prochaine et donc un transfert pouvait être possible dans la journée de la France. Freddy était disposé à me le faire pour le lendemain. Mes problèmes étaient réglés. Et je pouvais passer une nuit tranquille. Pour fêter cela j’alla dans un restaurant ou je manga un gros poisson à moins de 10 euros . La vie n’est pas belle !!!!

Quatrième jour à Bangkok

Toutes mes matinées se ressemblaient presque.

Les sessions toujours nulles. Comme j’ai mon poster à récuperer, je décide de mon rendre au Planty Plaza.

Au Planty Plaza
Vu de l’extérieur, le Planty est un grand supermarché avec tout ce qui peut aller avec : un très belle architecture, des affiches géantes de publicités, des écrans où des clips défilent, etc. Mais à l’intérieur, on n’est un peu déçu vu le bordel qui y règne. Il y a avant tout un monde de personne. Des installations un peu anarchique de petits kiosques de vendeurs dans tout le grand magasin et qui ne VENDENT que des contrefaçons. C’est d’ailleurs dans l’un d’eux que j’achèterai le DVD de Vista. Je me dirige à tout hasard dans le magasin et je tombe par hasard sur le rayon des CDs et DVDs plutôt de l’alignement de kiosque vendant des DVDs crackés. Le marchant me donne un album photo dans lequel il y a la pochette de centaines logiciels. J’en choisi celui de vista qui me coutera 250 bats soit 5 euros. Nouvelles surprises, après avec payé, je m’attend que la bonne femme me file le DVD, voila qu’elle me tend un bout de papier et me demande de repasser dans 30 minutes. C’est un détail qu’on ne m’avait pas dit avant. Et comme je n’avais beaucoup le choix, je décide de visiter le Planty avec l’espoir de dénicher une bonne affaire. En effet, j’avais l’intention de m’acheter un lecteur de MP3 et un disque dur externe pour laptop. J’ai pu trouver un lecteur à un prix raisonnable : un contrefaçon de l’ipod. Mais les disques durs étaient plus chers.

Pendant ma visite, j’entrepris de comparer ce que je voyais avec ce que je connais en Europe. Le Planty est composé à plus de 90% de magasins qui vendent que de la contrefaçon et ce, d’une façon tout à fait l’égale. Je commençais à réaliser pourquoi, il y a de grosses critiques envers les pays asiatiques qui ne respectent pas les droits d’auteurs. Je comprend que tous les vendeurs cherchent simplement de quoi de quoi vivre et nourrir leurs enfants, mais, je pense que les autorités du pays devraient faire un minimum de pression, pour freiner un peu ce phénomène. Moi, j’avoue que je télécharge des films et des logiciels, mais je le fais pour usage personnel. Ma conscience toutefois de vouloir faire du commerce avec ce qui ne m’appartient pas.

Pendant ma visite, je recherche en même où faire le tirage de mon poster. J’en trouve un avec un tarif raisonnable (600 bats soit 12 euros) où il me demande de revenir dans l’après midi pour le prendre. Zut, je peux pas dans l’aprèm vu mon programme. Ca ne sera que pour le lendemain. Les 30 minutes étaient largement écoulés et je reviens récupérer mon DVD et je retourne en vitesse à la conférence, toujours en métro. Je réussi à revenir à temps pour manger dans le restaurant.

Dans l’après midi, il y avait un tutorial super intéressant sur les bases de données XML. J’ai été particulièrement intéressé par les techniques de représentation de l’héritage dites de « labelling ». L’orateur les a tous présenté en donnant leurs avantages et inconvénients. Pour nos travaux au LISI, nous aurions plus qu’à choisir.

Préparation de ma démonstration avec Mr PIERRA
Entre deux sessions, je propose à Mr Pierra de lui faire ma démo. Je commence par lui présenter les transparents introductifs. Comme je m’y attendais, ils s’étaient nuls et mal structurés. Il m’a même lâché de j’avais de gros problème de communication et qu’en troisième année de thèse j’étais pas capable de faire une chose aussi simple. Mon orgueil en a pris un coup qu’à même. Des fois je me demande si je suis vraiment fait pour ce métier de chercheur même si c’est ce que je voudrai faire toute ma vie ! Si le prof. qui m’encadre depuis 5 ans ne voit pas en moi, cette compétence fondamentale pour ce métier. J’ai vraiment intérêt à bien y réfléchir après ma thèse. J’ai peur de la regretter toute ma vie. Bref ! je n’étais pas encore sur ce chapitre de ma vie et puis qu’est ce qui dit j’aurai un poste pour exercer ce métier ! hein !. Pour le moment, il fallait que je réussisse ma démo (rires …).

En vérité, on n’avait pas la même vision de la démonstration. Lui était dans une optique de performance (comme notre papier long de la conférence a été écrit) et moi, dans une optique de conception de bases de données (exactement comme le papier de la démonstration a été écrit). Du vision très différente. Le chef a le dernier mot. Je me suis rendu compte qu’il avait raison car c’est ce qui intéressa beaucoup plus de monde.

On bossa pour définir un nouveau scénario de la démonstration et cette fois basée sur des ontologies réalistes et conséquentes. A comparer avec ce que j’avais préparé préalablement c’était les seules différences. Le discours a un peu changer. Je devais insister sur le fait que des ontologies se construisent de plus en plus dans notre domaine et sur la structure de nos ontologies faisons que les approches usuelles ne sont pas très appropriés pour nous. Il me suggéra d’autres petites choses que je devrais régler chez moi ce soir.

A la fin, j’étais plus rassurer de ma démo.

Il était plus de 19h quand nous avions fini. Le banquet de la conférence a débuté depuis plus de 30 minutes.

Au banquet de conférence
Quand je suis arrivé, tout le monde était débout pour se servir à manger. Le discours du ministre de la recherche d’un pays voisin a prononcer un discours très long d’après ce qu’on m’a raconté. J’avais rien manqué en tout cas !!

Je cherche une table et je tombe sur François et sa copine qui vient d’arriver de la France pour ses vacances. C’est une fille gentille comme son mec. On a bien rigole jusqu’à leur départ. En fait, il avait un bus à prendre pour l’intérieur du pays.

Pendant que nous étions encore tous ensemble, imaginer qui s’est assis à coté de moi ! La belle thaïlandaise !! J’étais au ange ! On a bien plaisanter en français avec François et sa copine. Et Si seulement, elle comprenait un mot du français, j’étais foutu !

Après leur départ , la fille partie aussi chez elle. Snif ! mon rencard ne sera pas pour ce soir.

On se retrouve plus qu’à deux avec un thésard thaïlandais très gentil. On discute de tout et de rien quand, une dame vient de joindre à nous. C’est la secrétaire du professeur qui organise la conférence. En discutant, je laisse sortir par tout hasard que je recherche un billet pour Hanoi au Viêtnam mais je n’en trouve pas parce que les vols sont pleins. En sort, son calepin et son mobile et se met à donner des coups de fils pour moi. En trois minutes, j’avais ma réservation de faite. Et demain avant midi je devais le confirmer en donnant mon numéro de carte bleu. J’étais super content.

A la table des jeunes, où une place m’était spécialement réservé ! (je rigole !). Il avait un anglais un peu poussé, ce qui fait que je ne les comprenais pas trop bien. J’ai plus écouté que parlé pour une fois de ma vie. J’étais fier de moi !! rires …

La soirée est fini à 22h. Et on devait chacun rentrer chez soi. Moi avant de dormir, je devais régler tout ce que Pierra m’avait recommandé. C’est ce que je fis. A Minuit j’étais déjà endormi.

Troisième jour à Bangkok

Cette journée débuta comme la précédente.
Réveille matinal à 6h. Connexion sur internet pour lire actualité, une douche, enfin petit déjeuner au restaurant.

Les sessions du matin étaient également intéressantes comme le jour dernier. Les intervenants nous ont encore parlé de XML. Je commençais à m’accommoder à cela et puis j’avais pas beaucoup le choix. Je devais patienter jusqu’à ma démonstration dans deux jours. Mais avant dans l’après midi, il y a la présentation de Mr PIERRA.

Des problèmes avec mon portable
Pendant que tout le monde parlait de XML, j’ai décidé de finaliser le scénario de ma démonstration que j’ai pas touché depuis 2 jours. A ma grande surprise, mes programmes ne fonctionnaient comme voulu. Ils étaient extrêmement lent et indémontrable. Après diagnostique, je me rend compte que c’est Windows Vista qui plantait précisément explorer qui avait du mal à ce lancer. J’avais déjà remarqué depuis quelques que ma machine démarrait hyper lentement (plus de 10 min) et pour l’éteindre, il fallait forcer. Dans le cas de problème pareil, il y a une seule solution : réparer Windows à partir du DVD d’installer ce qui permettrait de remplacer les fichiers endommager. La problème était que j’avais mon DVD sur moi. Je me souviens l’avoir laissé expressément. Je ne pouvais imaginer que ma machine me jouerait un salle tour.

J’entreprend donc de demander aux participants de la conférence, le DVD. Malheureusement pour moi personne ne l’avait sur lui. Je devais donc aller en ville m’en a acheter un. Le seul endroit ou je pouvais l’avoir à prix raisonnable, était de se rendre au « Planty Plaza » (souvenez-vous, c’est la où je dois tirer mon poster).

Compte tenu de mon programme surcharger de l’après midi : présentation de Mr Pierra et 1 heure après le welcome reception. Et François et décidions d’aller pendant cette heure là au Planty Plaza.

La présentation de Mr PIERRA
Comme d’habitude, la présentation de Pierra était bien structurée et très pédagogique. Mais j’ai eu l’impression qu’il a largué l’assistance à un moment donné lorsqu’il parlait du modèle d’ontologie PLIB dont il est le père. En tout cas, à la fin de sa présentation, j’étais content de voir quelques slides que je lui avait envoyé par email. Lui ne l’était pas par contre. Il a eu droit à aucune question de l’assistance, ce qu’il traduit par le fait que la conférence DASFAA est trop généralisme et il n’a pas vraiment d’expert du domaine dans l’assistance. Disons aussi que notre papier n’a pas été placé dans une bonne session. Les deux intervenants qui nous ont précédés, ont parlé d’imagerie. La seule question qu’il a eu droit est celui du président de session pour savoir si on avait essayer de voir au niveau des bases de données XML, pour stocker des ontologies et leurs instances et si on ne pouvait pas avoir aussi de bonne performance. Le président de session était un fana de XML qui avait fait un présentation la veille sur le sujet. La réponse de Pierra fut très diplomatique pour éviter tout polémique. Il répondit simplement que vu la quantité de données que nous manipulons, les BDs XML ne supporteraient pas. Même nous ne l’avions jamais testé, c’était un à priori qu’on s’était fait depuis ce qui nous avait fait écarté d’emblé cette piste. Maintenant que les grands fournisseurs de SGBDs (Oracle, DB2, etc.) ont incorporé le stockage des documents XML en natif et optimisé, on pourrait envisager de tester cela.

Mr Pierra fait la connaissance de François et une discussion s’en suit sur le web sémantique et tralala…

Moi je profite pour renseigner sur le déroulement de ma démonstration auprès du président de notre session. Il m’informe donc qu’il est possible d’avoir un poster. Cool !!, j’ai déjà un poster tout fait qu’il attend à être imprimer. C’est celui que j’avais fait pour une précédente conférence à ODBASE’06 (Montpellier - France). Pour imprimer le poster, il fallait que je me rende au « Planty Plaza ». François était volontaire pour m’y conduire.

En cherchant dans mon portable le fichier du poster, je me rend compte que je ne l’ai pas. Il est sur mon fixe au bureau. J’entreprend de contacter une personne au bureau. Il était 12h-13h à Poitiers. Tout le monde était au resto. On remis le tirage du poster au lendemain.

En discutant, 18h était déjà arrivé et il fallait se rendre à un hôtel à deux pas pour le welcome reception.

Au Welcome reception
Cette réception me restera mémorable car elle était bien animée, composée en majorité de jeunes et surtout organisée par les jeunes thésards du laboratoire d’informatique de Bangkok qui organise la conférence. Au menu festif, on avait du karaoké, des jeux, de la bouffe à volonté et à boire. Chacun en avait pour son compte ! On me proposa d’interpréter un titre. Le problème que toutes les chansons étaient en anglais. Bien que j’en avais une envie folle, je refusa pour deux raisons : (1) Mr Pierra pouvait se présenter la à tout moment même s’il a dit qu’il ne viendrait pas (et c’est ce qui se passa ! rires …) et (2) il y avait une jolie thaïlandaise super-mignonne dans la salle et je ne voulais pas faire le pitre (ça ne m’a jamais réussit auprès des filles). J’étais un peu déçu de ne pas pouvoir chanter. Car pour ceux qui ne le savent, j’ai mis la musique comme mon plan B au cas où je réussirai pas en informatique. Je sais que j’ai un petit talent, en tout cas, c’est ce que j’entend dire de mes copains du déjeuner à Poitiers (rires…).

François interpréta une chanson avec beaucoup de médiocrité mais très drôle qu’a même. Mr Pierra arriva lorsqu’il était sur la piste. Trois autres personnes interprétèrent d’autres titres puis des professionnels prirent le relais.

A la session des jeux, on demanda à deux personnes à venir. Le premier à trouver un très beau tee-shirt jaune. La question était facile et difficile en même temps : le nombre de page du proceeding ! Il est être préparé avant répondre à cette question. Personne ne trouva la réponse. C’est une personne de l’assistance qui répondit et se vit offrit le beau tee-shirt. Deuxième question avec une bouteille de liqueur Thaï en jeu. François et moi décidions d’aller sur la piste. La question était un peu trop facile cette fois : la nationalité la plus représentée de la conférence. C’était évidemment les chinois. C’est moi qui donna la réponse. Je gagna la magnifique bouteille que j’offrit à François. J’étais content en tout cas.

Je fis la connaissance de deux autres français qui font leur thèse à Paris et leur domaine de recherche est le XML (évidemment !). François se mis à les provoquer sur le XML ! Je pris le relais. On les a un peu trop cassé. Avec un peu de recule, je trouve qu’on est un peu allé trop loin. S’il devait nous bouder, ce serait vraiment légitime. Heureusement ce n’est pas était ainsi.

La salle se vida petit à petit et il ne resta plus que les jeunes. Nous nous sommes mis à faire du karaoké tous ensemble. On s’est très bien amusé. Les photos peuvent en témoigner.

Pour la Thailandaise dans ma ligne de mire, j’ai pas fait grand-chose mis outre le fait que je lui ai dit qu’elle était très belle. En vérité, je ne lui ai pas dit directement. Elle était la photographe de la soirée. A un moment elle vient nous filmer avec les copains français. Je me suis adressé à elle en Français elle très belle. Lorsqu’elle voulu savoir ce que j’ai dit, j’ai traduit en anglais que son appareil photo était très beau. Mes copains m’ont trahi en lui exactement ce que j’avais dit. J’étais un peu gêné et en même temps content qu’elle sache ce que je pense d’elle. Voila. Nos regards se croisa plusieurs fois jusqu'à la fin de la soirée. Si j’étais un timide garçon, je pense que j’aurai pu pousser mes pions. François qui la connaissait bien me l’a dit. Je ne voulais pas me presser. Il y avait encore deux jours.

La réception finit à 22h. Il fallait rentrer pour dormir.

Réparation de mon portable
Je n’avais pas l’esprit tranquille que mes programmes ne marchent pas comme je veux. J’entrepris la décision de bricoler comme je peux. Au pire demain matin, je monte au Planty Plaza pour m’acheter Windows vista et me réinstaller mon système. En 24h tout est possible. Deux semaines avant, j’avais eu la bonne idée de faire une image de ma partition système avec « Acronis True Image ». Je me suis dit pas ne pas faire une restauration au risque de perdre les dernières modifications. Je prend de sauver quelques petits données et top je me lance dans l’aventure. Je ne l’avais fais dans le passé mais ca été hyper facile. Je reboot ma machine. Premier effet positif, elle redémarre plus vite qu’il y a deux jours. Je lance mes programmes, ils marchent tous. Deuxième effet positif, tous les logiciels installés les deux dernières semaines continuent à fonctionner. J’étais super-content ! Elle n’est pas belle la vie !! rires …

mardi, avril 10, 2007

Deuxième jour à Bangkok

Départ pour le lieu de la conférence
Je prend ma douche. Je descend prendre mon petit déjeuner puis je monte à l’hôtel Ambassador que j’ai repéré la veille lors de ma sortie et où à lieu la conférence DASFAA. Arriver sur lieu, bonne nouvelle, aucune affiche dans l’un des plus grand hôtel de la ville. Trouver l’accueil a été même un calvaire. C’est la première que je vois dans un hôtel qu’il y a plusieurs entrées. J’y arrive qu’à même. Et on m’indique les lieux. Avec 10 minutes de retard. J’étais l’un des tous premiers. Je récupère mon badge et autre et je retourne me balader dans cette hôtel magnifique de 5 étoiles. Je reviens toujours rien. La réunion commença à 9h. C’est après que je me suis dit que c’était peut être prévu comme cela.

Début de la conférence
La première session des tutoriels était d’une nullité totale. Les orateurs nous ont saoulés avec leurs recherches sur du XML. Cela fait 5 ans que je suis dans ce univers de la recherche, c’est jeune certes, mais je ne comprend pas pourquoi ces chercheurs n’ont pas encore fini de trouver dans ce domaine là. C’est aberrant. J’ai l’impression d’écouter les mêmes choses chaque fois. Dès fois, ils se créer eux-mêmes des problèmes (le plus souvent non réalistes – i.e., que ne rencontrera jamais en industrie) et puis cherchent la solution !! rires … (il faut que j’arrête d’être de mauvaises langues !!).

La deuxième session était plus intéressant car les intervenants ont parlé de Web Sémantique. L’un d’entre à particulièrement captiver toute mon attention car il a donné des chiffres statistiques du comportement des individus utilisant des moteurs de recherches. Le titre de son papier est « Towards trust-oriented Web research » si vous êtes intéressés de le lire. Un exemple d’un chiffre : Seulement 50% des internautes consultent plus de 5 premiers résultats fournis par les moteurs de recherche. Et quand on sait que ces derniers ne classifient toujours les résultats par leurs pertinences effective, on se doute que les meilleurs résultats ne seront forcement toujours en premiers. La morale ici est double : (1) ne pas trop faire confiance au moteur de recherche et (2) ne pas hésiter à parcourir plus de résultats. Après cette très belle présentation, l’heure de manger arriva. Nous allâmes donc manger dans un des restaurant de l’hôtel.

Rencontre avec François
Solitaire, car ne connaissant personne, je suis le chemin jusqu’au resto où un buffet a été préparé pour nous. Je me sers en m’assure de mettre dans mon assiette que de la nourriture Thaïlandaise. Je fini de me servir et je recherche une table ou manger. Je vois là devant moi, un jeune avec le même badge que moi entrain de manger seul. Je lui demande si je peux m’assoir. Après son accord, je m’assoie et on entame une conversation en anglais.
François : Where are you from ?
Hondjack : From Paris, je réponds
François : Je suis français moi !!

Je ne vous dis pas la grande joie d’entendre le français depuis 24h déjà !! rires !!!!

François en français 3ème année de thèse en Autruche au laboratoire DERI et est en échange pour trois mois à Bangkok dans un laboratoire. Faut dire qu’il a bien choisi sa destination pour faire son échange. Comment peut-il réussir à bosser dans une aussi belle ville touristique. Je ne lui poserai pas la question car elle peut être mal interpréter. Et puis, je ne me permettrai pas de gâcher une chance pareille de rencontrer une personne qui parle français et qui connait bien Bangkok pour des choses qui ne me regardent pas !!

Nous avons bien discuté ensuite, il devait partir pour finir ses diapos pour la présentation qu’il avait à faire à la deuxième partie de la session de l’après-midi. On remonte ensemble car je voulais profiter pour checker mes mails.

La session de l’après-midi ne tarda à débuter. Et rebelote, la 1ère session était aussi nulle que celle du matin. Et c’est là que l’idée de raconter toutes mes aventures jusque m’est venue. Pendant toute la session et celle qui va suivre, j’ai rédigé tout ce que vous avez pu lire jusqu’à un certain niveau. Je le termine en ce moment dans ma chambre d’hôtel. Il est à ma montre 3h20 du matin. C’est tard et il faut que je dorme.

La visite de Bangkok avec François
Après une agréable nuit, je peux continuer mon récit de mes événements de la journée d’hier.

Juste après la clôture de la session, mon ami François et moi décidions de partir visiter Bangkok. Nous allâmes d’abord à mon hôtel pour déposer nos affaires pour s’alléger un peu. Après une brève consultation de ma carte, nous décidâmes de commencer la visite à pied. François voulait me faire découvrir les bas quartier et me conduire à un bar très populaire et fréquenter par des touristes sexuelles. Il me raconta des choses extraordinaires sur ce lieu mythique. Je ne le cru pas bien puisque je ne pouvais l’imaginer. Après une marche de plus de 30 minutes, je crois qu’on s’est égaré et on décide de revenir sur nos pas. Et comme par hasard, on tombe plus poils sur le lieu qu’on recherchais. Déception de ma part, l’endroit était mort et désert. François m’explique qu’il ne prend vie que le soir. Pour me faire une idée de l’endroit je décide de revenir plutard dans la soirée pour le voir. Tout déçu, nous quittions les lieux et François tient à trouver un petit bar tranquille pour boire un coup (honnêtement ça ne me disait rien puisque je ne bois pas et je voulais plutôt visiter Bangkok). Je réussi à la convaincre à se rendre à une station de métro car j’ai vu sur ma carte un jardin ou parc. Il doit y avoir certainement des bars autours.

Dans le métro de Bangkok
Je suis pas un fana des métros pour deux raisons : (1) parce que c’est souterrain et ca me stresse, (2) il faut toujours y courir pour rattraper son métro. Mais à peine rentrer dans la station que j’étais bluffer. Loin à voir avec le métro parisien sale, tagué de partout, sale, des escaliers dans tous les sens, très vieux, pas de SDF, etc. Le métro de Bangkok est super-propre !Pas un bout de papier en vue. Je n’ai pas un seul escalier ! Il y a que des scalators et ne sont pas imbriqués de partie. Tout est aussi tout neuf. Une chose très particulière, est qu’il y a un mur vitré entre le quai et les rails. Des portes s’ouvrent automatiquement à l’arrivée du train. Les tickets pour franchir les portes sont magnétiques et ont la forme d’une pièce de mois. Pour sortie d’une station, le jeton doit être inséré à un endroit précis avant que la porte s’ouvre. J’ai trouvé cela très originale.

Au salon du livre de Bangkok
A la sortie de la station, nous nous arrivons tout juste en face d’une salle d’exposition où à lieu la foire au livre de Bangkok. Il y a un grand nombre de personnes presque tous habillées en jaune. J’aurai du en parler plutôt. J’ai remarqué cela depuis notre sortie de mon hôtel. La couleur jaune est la couleur du Roi de Thaïlande très adoré par son peuple. Le lundi est une journée officiel attribuée au Roi, faisant que ce pendant ce jour de la semaine, tous les Thaïlandais s’habillent en jaune pour exprimer leur respect et Adhésion au Roi. J’avoue que c’est très beau de voir une très grande foule de personnes habillées de la même couleur.

Nous rentrons dans le salon et cherchons le stand de livre français. On le retrouve très vite. Pas grand-chose à dire à part il y avait que des livres touristiques et d’histoires et autres (pas de mon registre en tout cas). On sort de la foire et on décide d’aller se faire un bon « foot massage » ou pourquoi pas directement un « body massage ». Ca nous aurait fait du bien après cette bonne heure de marche. François est un fana des massages et connait une Thaïlandaise qui est a trois station de là où nous sommes et qui le fait très bien. On court pour y aller, à deux d’arriver que xa copine l’appelle et qu’il faut qu’il rentre très vite ! Zut ! voila une qui vient me gâcher mes plans. François me laisse juste devant le salon. Après réflexion, je décide de rentrer car j’avais envi de rester tout seul surtout que je sais que c’est fille là parle rarement anglais. Je remet çà pour une autre fois. Je rentre donc et je continue ma rédaction de mon récit. Je bosse jusqu'à 1heure du matin et comme
le sommeil n’arrive pas, je décide de sortir me balader : où vous savez ? Au quartier des touristes qui était mort et désert dans la journée.

Ma visite nocturne au Bordel non loin de mon hôtel
Pour ne pas être tenté, je décide de m’habiller vraiment légèrement et des babouches au pied (pas pratique avec la distance à faire). Je sors donc de l’hôtel. A peine arrivée au premier carrefour à deux pas de mon hôtel que les putes m’abordent de partout. Je les ignore car j’ai une chose dans ma tête, c’est d’aller au bordel pour voir des choses à ne pas voir. J’y arrive au bout de 20 minutes de marche. Le bordel s’appelle « cowboy entertainment » et porte le nom du premier bar installé sur les lieux par un ancien soldat américain. La quartier pour sur une seule rue longue d’à peu près 500m avec des bars tout autour. Pour ceux qui connaissant le Libreville, dans la description c’est pas très différent du « couloir de la mort ». Vu de l’extérieur, je n’ai pas trop choquant (tout dépend bien de la moralité de chacun). Les filles, qui étaient 4 à 5 fois plus nombreuses que les garçons, étaient très sexy (un peu trop pour certains peut être – pour moi ca allait encore !) . Je décide de traverser toute la rue (en réalité, je cherche le bar le « cowboy » j’avais pas vu en passant). Dans mon trajet, les filles n’arrêtaient de me siffler et me demander de rentrer à l’intérieur. Jusque la je na savais pas ce qu’il y avait à l’intérieur. On me regardait peu bizarrement aussi. Vous savez un BLACK habiller légèrement et en babouche ca ne peut que attirer le regard !! rires.

Au bout de la rue, je fais demi tour et cette fois, je décide de rentrer dans TOUS les bars et c’est ce que j’ai réellement fait. Le premier bar au bout est vide. Le deuxième moyen mais rien d’extra. Au troisième, quatrième, ainsi de suite. Je ne croyais pas mes yeux. Sur une piste en plein milieu de la salle, il y a des filles toutes nues entrain de se déhancher des touristes déjà bien aussi par deux où trois filles. Déjà la j’était mort. En regardant les filles près, je me rend compte qu’elles sont toutes mineurs âgées de 10 à 15 au plus. Je n’en revenait pas. Normalement au troisième bar j’aurai pu rentrer directement car j’avais vu ce que je cherche. J’ai fait tout les bars pour être sur que mes yeux ne me trompaient pas. Les touristes en questions étaient des hommes âgés de 50 au moins. Quand je pense qu’ils viennent tous en tourisme pour assouvir leurs désirs de pédophilies, j’ai mal au cœur. Au bout de la rue je fais le chemin retour jusqu'à mon hôtel. Toujours 20 minutes de marche. Chez moi, j’arrivais pas à dormir et j’ai continué mon récit de voyage. Je me suis endormi au environ de 3h pour me réveiller ce matin à 8h.

A partir d’ici, je raconte mon séjour sans aucun jour de différer. Je rédige depuis hier à peu près à la même heure. Cà me fait des pages qu’à même !! rires … Je suis très fière de moi d’avoir réussit de reporter tout cela. Il faut que je trouve le temps de me relire pour corriger les fautes.

Premier jour à Bangkok

L’aéroport pour mon hôtel
Après avoir déjouer deux tentatives d’arnaques de deux taximen qui voulaient me faire payer le double du trajet. Je marchand un tarif un prix de 20 dollars avec un dernier. On sort de l’aéroport. Et là ma surprise était totale. Je me suis cru au US. Ressemblance absolu. Les routes très larges, les panneaux publicitaires, la couleur des panneaux de signalisations et au loin le sommet des grattes ciels de Bangkok DownTown. J’avais vu des images sur la Thaïlande avant mon départ, et pour c’était la campagne, les maisons historiques, etc. j’exagère un peu je sais ! en tout je ne croyait pas voir une ville aussi moderne. Le trajet a duré 25 minutes. Je règle ma note. Il me signe ma facture. Bye.

La prise de la clé de ma chambre
Il a rien de mémorable mis outre que j’ai eu du mal à comprendre ce qu’il me demandais. Je ne savais pas s’il me demandais de régler toute ma note ou d’attendre la jour de départ. On a parler par le signer pendant un temps et tout c’est réglé. Un porteur prend ma valise et me conduit à ma chambre. Comme j’ai longtemps vu dans des films, je lui file un billet de 5 dollars. Aussitôt sa langue se déchaine. Il me raconte des choses sur Bangkok : comment faire les visites touristiques, le massage Thaïlandais, etc. Il m’a même laissé son nom au cas ou j’aurai besoin de ces services.

Jusque là j’étais tellement occupé mentalement que le décalage horaire de 5heures, je ne le voyais même pas. Aussitôt installer, je me jette sur mon grand lit de 2 places. Et je me dis intérieurement « vive les vacances ». Je passerai 4 jours là et je devrais profiter pour me ressourcer car à mon retour ça sera le stress de la soutenance. Un petit somme, je me réveille et je descend chercher à manger. Il y a un restaurant au rez-de-chaussée. Je commande repas Thaï super-bon joint avant du piment qui pique vraiment. Je m’achète une connexion internet WIFI d’une heure. Je remonte me connecter pour checker mon mail. Après avoir lu et répondu à des mails, je décide d’aller à la découverte de Bangkok.

A la découverte de Bangkok
Chausser de Babouche, mon appareil photo au coup, air décontracté, il fallait être aveugle pour ne pas me reconnaitre en tant que touriste. Mon hôtel comme plus d’une autre dizaine forment un endroit touristique. Les touristes, on en voit partout. Français, Américains, Indiens, Chinois, Australiens, bref, le monde entier est représenté. Ce qui fait qu’une économie touristique entière s’est développé sur le site. Les marchands de fringues, de chaussures, de gadgets, d’objets d’art sont alignés cote à cote tout au long des trottoirs parfois sur 1km (en tout celui de ma rue le fait largement). Et les marchands n’arrêtent de proposer leurs produits aux passants. Faut dire que les prix sont très intéressants. J’ai déjà ciblé des choses que j’achèterai au moment de rentrer. Au retour j’ai pas pu résister d’acheter une ceinture à 5 dollars qui m’aurait coutée plus de 20 euros à Poitiers.

Un truc très surprenant, c’est la prostitution. J’en parlerai plus en détail au chapitre 3. Je rappelle que j’écris ce récit avec un jour de décalage. Je suis actuellement à mon deuxième jour à Bangkok où j’ai décidé de mettre sur écrit mon voyage. Et donc, de temps en temps, un mec t’arrête et te présente des photos des filles dénuder et propose si tu veux bien sortir avec elle. C’est du direct et sans indiscrétion. C’était gênant au début très vite, je me suis habitué. L’astuce est qu’ils faut les ignorer. Pour problème est que je m’arrêtais pour les parler. En discutant avec un, et comme j’étais pas intéressé, il m’a même proposé des hommes !!! rires… De la folie quoi !!! En tout cas me fait une histoire à raconter !! eh oui !!!!

Je rentre chez après ma petite marche ! Je vais sur internet. Je m’endort. Je descend manger. Je remonte. Je règle mes programmes de ma démonstrations. Puis je m’endors. Avec le décalage horaire, je me réveille tard dans la nuit. Et le sommeil n’arrive plus. Ce n’ai qu’à 6h du matin que je réussi à redormir pour me lever à 8h.

Bangkok – le départ de Poitiers




L’histoire commence le 06 avril. Je quitte Poitiers très tôt de chez moi (6h55 exactement) pour me rendre à la gare afin de prendre mon train de 7h35. Je dois avant me rendre à un guichet pour changer mon billet de train car ma réservation a été faite un train de 16h30. J’ai décidé de partir plutôt parce que je me suis souvenu la veille qu’il me fallait proroger mon passeport à l’ambassade du Tchad à Paris car il s’expirai dans 5 mois et il y a une exigence d’avoir une validité de Passeport de plus de 6 mois pour pouvoir rentrer en Thaïlande.

A l’ambassade
Je suis arrivé à l’ambassade au environ de 10h et très chaleureusement accueilli par le réceptionniste qui a très vite récupéré mon passeport pour le faire proroger et m’a suggéré d’attendre quelques minutes dans la salle d’attente. Et c’est la qu’a commencé ma très longue attente. J’hésite à décrire la salle d’attente de l’ambassade car j’ai un peu honte de la faire. Après tout, c’est l’ambassade de mon pays que j’aime beaucoup, et c’est un peu dévalorisant de dire des choses pas gentilles sur son pays et surtout si des étrangers arrivaient lire cela! (rires…). L’ambassade représente une image d’un pays. Son mode de fonctionnement, sa propreté, l’accueil, etc. reflètent la réalité du pays. Je m’y suis déjà rendu plusieurs fois et à chaque fois, j’en ressort très déçu et honteux.

Dés que vous rentrez dans la salle d’attente, la première chose qui vous frappe à l’œil, c’est la photo du président Idriss Déby collée sur le mur en face. Sur le mur à gauche, vous voyez des photos avec leurs années de fonctions des différents ambassadeurs qui se sont succédés depuis les années 60 (si par hasard vous vous y rendez un jour, amusez-vous à calculer leur nombre d’années de fonction - à partir de 1990 – je vous garanti que vous allez rire un coup). Je ne critique pas qu’il ait la photo du président actuel, au contraire j’en suis fier, mais, à l’image des photos des ambassadeurs et surtout par harmonisation, il serait préférable qu’il ait aussi les photos des précédents Président du Tchad. Le fait qu’il ait sa photo seul au mur, fait un peu pensée à la période de parti unique où on devrait adresser un culte au président dictateur (à moins que c’est réellement ce qu’on veut véhiculer).

Deuxièmement, la noirceur des murs, la moquette (rouge à la base) et du canapé. J’aurai du le citer en premier. C’est vraiment dégoutant. Je me demande, si l’ambassadeur et tous ceux qui y bossent le réalisent. Toutes laissent croire que le Tchad est vraiment si pauvre pour pouvoir s’acheter de vrais tapis (de 10m2), un nouveau canapé (au pire des chaises ca sera plus simple) ou se payer une ménagère pour nettoyer les lieux tous les jours. Si ca se trouve le Président est souvent reçu dans un endroit pareil à chacune de ces visites. J’ai fait tour aussi dans les toilettes au premier étage. Je vous assure que je suis égaré (rires). Et oui, rien n’est marqué sur la porte. Il a fallu que je redescente pour redemander au réceptionniste qui m’a gentiment fait un PLAN des lieux. Là encore, çà ne doit pas couter une fortune pour imprimer sur papier « TOILLETTE » et le coller à la porte (à moins que l’ambassade n’ait pas d’imprimante). Qu’en ait-il de l’intérieur ? J’étais agréablement surpris de sentir un bonne odeur de parfum (Il faut bien que je dise quelque chose de positif - rires). Les choses ce sont gâtées quand j’ai baissé la tête : qu’est que je vois un « sacane » posé sur le levier de la chasse (Je sais que je m’aventure dans un domaine interdit, mais je me le permet qu’a même ! – finalement je décide de ma taire !) . Au moment de fermer la porte dernière moi, oups ! la serrure cassée, est bidouillée pour permettre que la porte puisse se refermer ! (Dites les gars, une serrure ça coute combien ? où un plombier ? pas plus de 50 euros – pour une ambassade, on ne dira pas que c’est une fortune !!! hein !).


Désolé pour cette petite escapade sur la description de l’ambassade du Tchad. Je disais donc qu’on m’avait gentiment demandé d’attendre dans la salle d’attende le temps que le Consulte signe le document. Comme vous me connaissez tous pour ma sagesse. J’ai fait ce qu’on m’a dit : j’attendu. Pas 10 min, ni 20 min, ni 30 min, ni 40 min, ni 50 min , ni 60 min, ni 1h50 : 2h !!!!!!! 2heures pour me faire signer un document. Et pendant ce temps, ce dernier faisait des aller-retour dans son bureau. Je suis pas capable de vous décrire l’effet que çà peut faire d’attendre dans une salle où il y a rien à faire, à lire pour se distraire. Pendant mon attente, j’ai fait une tentative d’avoir internet par WIFI : demande rejetée bien sur par l’administrateur (tout à fait légitime – s’il me l’avait autorisé quoi que je serais content, mais je l’aurai critiqué!). Après 2h d’attente et après avoir bouffé tous mes ongles , je décide d’appeler le service client orange pour activer l’option internationale de mon mobile de sorte que je puisse recevoir en Thaïlande. Et ce sans gène bien qu’il avait deux personnes à attendre comme moi. Et comme par hasard, c’est quand je suis téléphone, que réceptionniste arrive pour me donner mon passeport. Ouf ! Enfin je peux partir!

Voici la morale de l’histoire, si vous devez faire une course à l’ambassade, conseils : (1) bloquez votre matinée ou votre après-midi. (2) Apportez de quoi lire pendant l’attende. (3) n’oubliez pas votre portable, ca peut vous portez bonheur (rires…)

Je quitte l’ambassade à 12h05 environ. Eh oui c’est midi, c’est l’heure de bouffer.

A l’université Paris Dauphine
Après une petite enquête, j’apprend que l’université Paris Dauphine est à deux pas de l’ambassade. Au fait j’avais besoin d’un coin tranquille comme une bibliothèque ou une médiathèque pour bosser un peu en attendant 17h le temps que la personne devant m’héberger ne rendre chez elle. J’y court en vitesse car qui dit université, dit restaurant universitaire (RU) et bibliothèque. Je réussit à m’acheter un billet avec une charme étudiant et j’attend dans une hyper longue file d’attente. La chose qui m’a marqué dans ce RU, c’est que pendant tout mon temps d’attende, plus de 20 étudiants m’ont grillé! Des étudiants arrivent de derrière et rejoignent leurs potes devant moi. J’ai pas réagit. Normalement, j’ai fait la remarque, mais (1) j’étais étranger et (2) la fille qui m’a vendu le billet était juste devant moi et déjà une ses amies m’avait dépassé juste au début ! rires…

Je mange ! puis je monte dans leur biblio au 6ème étage. Je bosse jusqu'à 15h30, ensuite je pars chez la personne chez qui je dois passer la nuit.

Départ pour l’aéroport
C’est ici que ma vraie aventure commence. Mon vol pour la Thaïlande étant prévu pour 17h35 et que la convocation est prévue 2heures avant et que je ne connais pas Paris, je décide de partir plutôt (13h30) de chez la personne chez qui j’ai passée la nuit. J’achète mon billet pour l’aéroport. Au moment d’acheter mon billet, je ne me souviens plus de ce que j’ai demandé, la dame me délivre un billet pour l’aéroport Roissy Charles de Gaulles (CDG2) tandis que normalement je dois prendre l’avion à l’aéroport Orly Sud qui est à une direction opposée. Et moi sans faire attention, je prend le premier RER à liaison direct sans arrêt dans les stations qui mène à l’aéroport CG2.

Et dans le train, je fais la rencontre d’un jeune sénégalais très sympathique de 18 ans, arrivé en France depuis seulement 2 ans. Il se rend à CDG2 pour voir un pote en stage. On discute pendant tout le trajet. J’en profite pour lui demander conseil sur les appartements à Paris et les bons plans. Il m’a donné une idée du temps pour arriver à Paris à partir des banlieues. J’en aurai besoin vu que je suis à la recherche d’un appartement pour la mois de juin. J’ai pas vu les 30 minutes du trajet passé tellement la conversion était passionnante. A l’arrivée, je sors mon billet électronique pour voir dans quel terminal, je dois me rendre, grande déception, je me rend compte que je me suis trompé d’aéroport (rires…). Voila que la panique commence. J’ai plus que 1h30 pour me rendre à mon aéroport depuis CDG2. Il faut compter le temps du trajet, le temps de trouver un RER de retour qui s’arrêtera certainement tous les stations du chemin. Un petit aveu j’y croyait pas trop. Pour moi mon vol, je vais le rater ! et vu que mon billet n’était échangeable ni remboursable, ce serait 930 euros dans la poubelle.

Disons que la chance était de mon coté ce jour là. (1) Mon jeune ami Sénégalais décide de faire le chemin retour avec moi pour m’aider pour trouver les lignes de métro sans perdre de temps. (2) A peine arrivé sur le quai qu’un train direct arrive ! Quel hasard ! ce qui veut dire que je ferai exactement 30minutes jusqu'à mon point de départ. J’arrive à mon point de départ, on prend les métros puis on arrive à un endroit où il y a un bus pour mène directement à Orly Sud. Dans le bus, il me restait 40 minutes avant le début de l’enregistrement. En seulement 20 minutes nous étions arrivés. Je cherche ma compagnie aérienne pour retirer mon billet puis je me rend au comptoir où il y a déjà une longue file d’attente. Je me met dans le rang comme tout le monde. Oufs ! le calvaire était terminé. Et là mon jeune ami décide de me quitter. Pour le remercier, j’insiste pour qu’il accepte de prendre un billet de 20 euros pour aller au cinéma. Je me rend compte maintenant que j’aurai du faire une photo avec lui ou prendre son email ou téléphone.

A l’aéroport Orly Sud
Dans la file, j’essai de me remémorer toute ma mésaventure. Et juste dernière moi, j’entend une voix féminine me parlant avec un fort accent anglo-saxon. C’est Célia, une belle, sympathique, juive, américaine, bavarde, étudiant en L2 Biochimie à Paris, qui a quitté son pays depuis 6 mois pour venir apprendre le français et se rendant en Israël . Je pense avoir était très précis dans sa description. Et donc cette fille m’aborde et aussitôt on s’est accroche. Je vous avoue qu’on s’est pas lâché jusqu’à Istanbul. Elle était bien marrante ! On a beaucoup rigoler. Au moment d’embarquer, et comme par hasard, elle rencontre un collègue du même amphi avec qui elle n’avait jamais parlé qui se rend Istanbul. C’est aussi un jeune, pianiste qui fait même des concerts, d’origine arménienne et aussi très sympathique. On négocie et on réussit à avoir des places cote à cote dans l’avion. L’avion connaitra un retard de 15minutes ! rien de dramatique !!!




Dans l’avion pour Istanbul
Depuis ma toute petite enfance que je prend l’avion, c’est la première fois que je ne m’endort. La durée du vol était de 3H25 (je crois!) mais j’ai eu l’impression que c’était 30minutes. On a bien rigoler en tout cas ! J’imagine que ceux qui étaient derrière et devant devaient nous maudire ! rires…
Avant le décollage de l’avion, j’ai eu une petite mésaventure. Nous sommes confortablement installés avec mes nouveaux amis quand une dame arrive, Turque puisqu’elle parlais la langue , ayant le même numéro de place que moi. Précision j’avais une place en fenêtre que j’ai galamment cédé à ma voisine. L’avion n’était pas aussi plein! Je luis gentiment que j’ai aussi le même numéro et qu’elle essaie de voir une hôtesse. Elle va voir une hôtesse. Je sais pas ce qu’elle l’a raconté. Elles arrivent ensemble quelques minutes après et me demander de changer de place ! rires … je leur ai demandé gentiment pourquoi je dois me déplacer si je suis déjà installé. C’était dommage pour elles mais elles n’ont pas su me convaincre. (1) La dame était encore débout, (2) on avait négocier pour être ensemble alors j’ai refusé. J’étais désolé pour l’hôtesse de pas lu obéir. Après analyse, j’ai compris qu’elle voulait simplement ma place à coté des fenêtres.

Arrivée à Istanbul, notre ami arménien nous quitte et on monte dans la zone de transit pour attendre respectivement nos vols qui partent à 25 minutes de différentes ! Le sien en premier. On a eu de causer pendant 50 minutes. Pour ceux qui me prennent pour un incapable j’ai pu choper son email ! et c’est sur si je viens sur Paris, on se rencontrera !! rires …
On se quitte.

Dans l’avion pour Bangkok
Si, je dois résumer cette étape, je dirai « long et pénible ». Le vol a duré 13h. A la 8h, je supportai plus. Après avoir dormi et dormi encore, et terminé mon roman déjà entamé à moitié (au passage, je regrette de n’être venu qu’avec un seul !), je me suis ennui à mourir. J’ai voulu bosser mes transparents de ma thèse mais sans succès. Ce qui me restait à faire était de voir ces films super nuls et dont je comprenais qu’un mot sur deux en anglais. En prenant mon mal à Patience, j’ai pu endurer jusqu'à notre arrivée. Ouf ! Je ne vous dit pas mon soulagement. L’avion s’est posé à 13h heure de Bangkok.

A l’aéroport de Bangkok
Ma première impression sur le sol Thaïlandais a été la chaleur qui m’a envahi du coup lorsque j’ai franchi la porte de l’avion. Ca ma rappeler Ndjamena et Libreville lorsqu’il va pleuvoir. C’est une chaleur lourde et péniblement respirable. Je me suis rendu compte très vite que tout est climatisé par ici et que la chaleur n’était qu’à l’extérieur.

Formalité oblige, il faut se rendre à la police pour récupérer mes bagages et sortir de l’aéroport. Je cours me mettre dans une file déjà longue. Arriver devant la policière, elle analyse mon passeport puis me dit que les Tchadiens rentrant en Thaïlande doivent subir un contrôle de santé et qu’il faut que je me rende au « health control » se trouvant derrière avant de repasser devant elle. (1) Ca fait pas beaucoup plaisir de faire l’objet d’un traitement spécifique de part son origine, (2) je devrait me taper encore 20 minutes de file d’attente rires… J’y court très vite. Je rencontre un mec qui devait s’ennuyer à mourir – Les tchadiens à passer le voir, il ne devrait pas en avoir des masses !!! rires. Il me demande ma carte de santé internationale que j’avais pas sur moi bien sur. Je l’explique que je vis en France depuis des années et je suis pas malade. Il me crois me met un petit tampon sur un formulaire que j’ai rempli. C’était réglé !! Je viens revoir la dame après encore 20 minutes de file. J’attendais impatiemment qu’elle me sorte un truc nouveau ! et la non ! elle me dit de passer ! Je sais pas si j’étais content ou non ! J’avais déjà tellement vécu des choses que j’étais à l’afflut d’aventure !! rires …

Je cours prendre mes bagages. A la sorti, il y a des douaniers ! Juste au dessus d’eux est écrit de passer se faire contrôler s’il y a des choses à déclarer. D’après vous qu’ai-je fais ? hein ? je suis PAS passé les voir ! Disons aussi j’avais rien à déclarer mis outre mes fringues et les deux parfums de pour Dung et sa femme, ils n’auraient rien trouvé.

Je quitte la zone rouge ! Ouf ! j’étais content en tout cas !

Me voila donc à Bangkok.

Mon premier message

Bonjour,
Cela fait bientôt deux ans que je me suis créé un blog parce que c’était la grande mode à l’époque, mais malheureusement j’avais rien à raconter. Je cherchais quelques choses d’assez originale comme une expérience, une aventure (ou mésaventure) pour le lancer.

Avec ce voyage que je fais en ce moment à Bangkok pour présenter mes travaux de recherche à la conférence DASFAA sur les bases de données (DASFAA’2007), mon rêve d’avoir un blog, c’est du coup réveillé. Je vais donc essayer de raconter au mieux toutes les étapes de mon voyage (aller-retour), mes rencontres intéressantes auxquelles je souhaiterai m’en souvenir dans l’avenir, mes mésaventures drôles ou non, etc. Je décomposerai mon histoire en plusieurs chapitres que je rédigerai au fur à mesure de mon voyage. Je suis en ce moment à Bangkok et je commence la rédaction. Ce qui fait que les deux premiers chapitres sont écrits respectivement à deux et un jours de retard.